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1 août 2019 4 01 /08 /août /2019 00:19

Il n' y a ni excuse ni raison a mon absence. Du moins , aucunement je ne me sens obligé de justifier quoique ce soit. J'écris juste ce soir sans brouillon, sans idées précises, sans motifs. 

Juste une envie soudaine de laisser mes doigts pianoter pour extérioriser mes doutes, et mes peurs.

45 ans bien tassés, un homme qui m'aime et me traite comme une princesse, un renouveau dans ma vie, un changement de boulot, de nouveau projets, une nouvelle coupe de cheveux...bref rien de pire, rien de mieux...

Alors quoi ? Des peurs soudaines sur lesquelles je vais devoir me pencher, analyser, des sentiments jusque là enfouis que je vais devoir canaliser pour les assumer.

Des rencontres nouvelles et prometteuses, des amitiés décevantes, des promesses non tenues, d autres dans lesquelles on veux croire...

Et les doigts qui recommence a fourmiller...Peut être un retour, peut être juste une envie temporaire. Je n'ai pas la réponse.

Ce soir, me rappeler de Mme Olson.

 

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 04:01

Ecrire reste souvent le moyen le plus sur de ne pas sombrer. La plupart du temps je ne sais pas ce que je vais dire avant de l'écrire. C'est une excellente thérapie pour soigner les maux divers et variés que la vie vous offre avec générosité.

Voir les choses , sentir le bonheur des autres quand on va mal est presque violent pour mon âme. La joie et le bonheur des autres m'agresse tous les jours. Leurs sourires, leurs calins, leurs baisers volés....tous ceci me rappelle ma solitude et me rendrait presque agressive.

 

Est ce normal ? D'après certains psy oui, d'autres pensent que non....Du coup, comment savoir si ce que je ressens est normal ? Pas simple de réfléchir sur soi, l'auto-analyse est le combat le plus difficile que j'ai eu a mener. J'avance tous les jours en me trouvant des bonnes raisons pour me lever et vivre la journée qui m'attends normalement.

Paraitre....Quelle jolie façon de donner le change...et s'ecrouler dès qu'on est seule. Quelles que soient les raisons que l'on se trouve pour avancer, elles ne suffisent jamais a effacer les souffrances. Qu'il est facile de dire "tu oublieras", "ça va passer", "laisse du temps"....Et j'ecoute, je fais, j'essaye...je suis tous les conseils, les bons, les mauvais, les cons....Je tente toutes les solutions....Mais rien ne fais, je n'ai pas la bonne méthode pour sortir de cet enfer. Je tourne en rond autour de mon coeur, et brique après brique j'essaye de remonter la muraille qui l'avait si bien protégé a une époque.

A quoi celà servira t'il ? Probablement a rien, puisque plus le temps passe plus je me rends compte que les fondations son pourries...

A me raccrocher peut être ? Mais a quoi ? Réveiller Henriette ? J'aimerais autant éviter d'en arriver là...Elle est furax, et je crois qu'elle irait trop loin....

 

Se reconstruire ? Oui, mais ça prendra combien de temps ? Pas que je sois préssée mais cet état de tristesse permanent me saoule. Je fais des efforts, mais même quand je souris il y a toujours quelqu'un pour me trouver les yeux tristes. Peut être le sont ils réellement...Je ne sais plus. Je ne sais plus me regarder avec objectivité. Le reflet de mon image ne m'inspire rien de bien glamour en ce moment. Je vois mon coeur brisé, je ne suis pas capable de voir autre chose. Les compliments, sincères ou non glissent sur moi comme la pluie.

Et voilà....larguer mes états d'âmes sur la toile, comme une bouteille a la mer...c'est tellement plus facile. Tellement plus inutile aussi....Mais là tout de suite, a presque 4h30 du matin, ça me donne un prétexte pour ne pas affronter le vide de mon lit.

 

Putin c'est pitoyable.

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25 octobre 2015 7 25 /10 /octobre /2015 00:51

Triste réalité de celle qui sait créer les plus beaux tableaux sans jamais ne pouvoir les peindre.

Triste son que la voix de celle qui ne sait chanter qu'en silence les chansons qu'elle écrit.

Triste pouvoir que celui de savoir provoquer les éclats de rires quand son coeur saigne.

Triste talent que celui de n'être inspiré que par des muses dépressives quand le bonheur assêche l'imagination.

Triste regard dans les yeux de celle qui mémorise les plus beaux clichés sans jamais les immortaliser.

Triste destin de celle qui sait tout donner sans jamais recevoir.

Triste vie de celle qui sait souffrir en silence d'aimer. 

Triste artiste que celle qui sait parler d'amour sans jamais le connaître.

Triste souffrance résolue.

Triste larmes essuyées par un alter égo schizo

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 09:58

Il y a parfois des moments dans la vie ou les mots sont inutiles. A d'autres moments, le besoin d'écrire se fait sentirmais le besoin de garder pour soi ses pensées domine. Les textes deviennent plus intimes, plus personnels. L'écriture devient alors une projection de son état d'âme.

 

Ce blog à toujours été une façon d'exprimer avec plus ou moins de talents, d'humour ou de sentiments ce qui me touchait, ce qui était et ce qui n'était pas.

 

Comique dans le travail ou revancharde, indécente ou érotique a travers les fantasmes ou le sexe, triste malheureuse ou pathétique dans mes relations a l'autres, chaque article, chaque catégorie, chaque mot révèle quelque part un morceau de moi.

 

Alors pourquoi aujourd'hui, ces mots ?

 

Parce que ce blog a toujours été mon thérapeute, mon meilleur ami, parfois mon confident ou mon punching ball...

 

C'est a travers lui et mon silence que je découvre cette partie de moi dont je n'ai pas honte, cet égoïsme qui me pousse à écrire mon bonheur sur papier sans jamais le partager avec vous. Voilà c'est dit, je suis égoïste dans la joie. Je ne veux rien donner, rien partager, rien montrer...garder cette part de moi qui souri.

 

Suis je encore Henriette ? Bien sur... Henriette sera toujours mon côté obscur, ma sombre héros , celle qui a protégé mon coeur et ma couenne toutes ces longues années. Et il serait dommage de la tuer !

 

Henriette se repose un peu de toutes ses longues années ou elle a été mon seul soutient, mon âme damnée....

 

Il y a un Ours dans ma vie....

 

 

( à suivre ....)

 

 

PS : Si ce blog vire au journal intime, tuez moi VITE !



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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 00:00

La tête dans le désordre ou du désordre dans ma tête. Ne plus réussir à ranger toutes mes idées dans leurs tiroirs. Ne plus arriver à structurer les pensées, à organiser chaque étincelle, chaque lueur.


Du désordre dans la tête, un joyeux foutoir dans mes tiroirs.

 

Nettoyer, ranger, balayer, dépoussiérer chaque envie, chaque idée, chaque pensée. Faire de mon cerveau un endroit ordonné, propre et rutillant. Pas une pensée trainant sous un tapis , chaque chose à sa place défini...Le tiroir a obligation déborde, en ouvrir un autre. Vider le tiroir a rancune, entrevoir la possibilitée de remplir celui des sourires.

Regarder satisfaite cet endroit rangé, carré, équilibré et... tout à coup, voilà qu'une émotion surgit telle une tornade. elle s'échappe d'un coeur dit impénétrable, cerné de barrièeres solides. Telle une tempête l'émotion s'abat sans prévenir sur mon cerveau si bien rangé, sur mes tiroirs si bien fermés.

 

Un joyeux foutoirs.

 

La tête dans le désordre et du désordre dans ma tête.

 

Regarder abattu les tiroirs éventrés, les idées mélangées, jonchées sur un tapis de doute, les pensées enchevétrées les unes aux autres.

 

Balayer, ranger, structurer organiser, trier....

Se perdre au milieu des idées brisées, des rêves évaporés, des pensées perdues.

Relever la tête.... il faut rééquilibrer.

 

Les barrières se fissurent, les murs se lézardent, baisser les bras. Ne plus avoir l'envie de re-cimenter le mur d'enceinte autour du coeur. Le sentir à l'étroit dans sa muraille, le sentir grossir, le sentir battre. Avoir peur de le laisser sortir, ne plus vraiment avoir envie de le retenir dans sa prison. Ne pas savoir.

 

La tête en désordre.

 

Organiser, créer de nouveaux tiroirs. Tenter de ranger, structurer, trier, organiser et équilibrer. Etiquetter chaque émotion, même celles sans nom, et leur donner un tiroir dans lequel elles ne veulent pas entrer. Ne pas réussir à les dompter, ne pas les contenir, se laisser déborder...

Les laisser là, se balader comme des feux-follets au milieu des idées et des pensées. Les regarder impuissantes créer un joyeux foutoir.

 

La tête dans le désordre et un sacré désordre dans la tête.

 

Sentir le grondement sourd et puissant des sentiments qui s'unissent et se rassemblent pour écrouler les derniers pans de murs qui les retienne prisonnier derriere une muraille déjà fragilisé.

Sentir monter en  puissance cette armée si peu entrainée mais tellement volontaire,  à l'assaut d'un cerveau trop bien rangé.

 

Etre impuissante face au combat qui se joue entre raison et passion.

 

Perdre la raison, se raccrocher aux derniers bastions de peur. Voir la haine s'enfuir a grands galop, la rancoeur lâcher prise, et rendre les armes.

 

Le passé pâlit face au présent qui danse, le futur s'annoce dans une folle farandole et la panique s'installe.

 

La tête dans le désordre, du désordre dans ma tête.

 

Le cerveau tel un champs de bataille après des mois de siège. Pas de victimes qui ne soit consentante, pas de vaincus...seule une étrange sensation de victoire.

 

La plénitude s'installe. Les pensées, les idées cohabitent avec les émotions et les sentiments. Chacun se mélange, se trouve, s'invite à partager des tiroirs qui restent toujours ouverts.

Chacun se mélange, se trouve, créant de nouveaux venus, de nouvelles sensations.

 

Le désordre est irrémédiablement installé...Les traces du combat menés deviennent perceptible à qui saura regarder. La facade, bien que restaurée porte les traces des dommages infligés.

 

Et maintenant ?

 

Sans barrières, sans murailles, sans murs d'enceintes ?

 

Et maintenant ?

 

Du désordre partout dans ma tête......

 


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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 22:21

Mon amour,


Les liens de notre mariage sont comme les chaînes qui relient mon cou au parpaing que je m ' aprête a jeter dans cette rivière.


Le  visage encore laminé par tes coups de coeurs, c'est l'âme libéré que j'attends de faire ce second grand saut, celui que je suis sure de ne jamais regretter.

 

Je partirais légère et convaincue qu' a l'instant ou l'eau emplira mes poumons, qu'au moment ou je m'enfoncerais dans les profondeurs il s'agira de l'instant le plus heureux de nos 12 ans de mariage .

 

Sois bien sur que je n'ai aucun doute sur le sentiment de culpabilité que tu ne ressentira pas, et que je ne doute pas non plus de tes talents d'acteurs pour jouer le rôle du mari éploré et fou d'inquiétude.

 

A poursuivre sur le chemin du purgatoire, je préfère choisir mon enfer....

Je m'offre le luxe suprême de choisir l'instant de ma mort, et ressens l'immense plaisir de t'en priver.

 

Les liens de notre mariage ont été tissée dans ma douleur. 

De toi, je n'ai eu que le pire et le malheur.

 

Je pars, je te quitte, je disparais dans le seul endroit ou je suis sure que tu ne me suivra pas.

 

Adieu mon amour...finalement...je gagne !


 


 


 

 


 

 

 



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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 06:00

vacances cérébrales...

 

- Arrêter de se branler les neurones

 

- Lire tous les bouquins qui prennent la poussière sur la commode et au pied du lit

 

- Baiser un minimum pour ne pas oublier

 

- Dormir

 

- Ecrire trois ou quatres bafouilles quand la fumée se dissipe

 

- Boire....beaucoup.....

 

- Envoyer des mails...peut-être

 

- Dormir, encore...

 

- Boire...surtout !

 

- Vous oublier ? Jamais !!!

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 06:00

Les nerfs à vifs

Le sang bouillonne

Les mots au bord des lèvres

Les mains qui tremblent

 

 

Retenir ses pensées

Retenir ses poings

 

Sourire....

 

Et attendre.....

 

 

 

 


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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 06:00

Dans des draps sans noms

Je me perds sous des mains anonymes

A la recherche de sensations futiles.

 

A l'arriere des voitures,

Dans les recoins sombres,

Je me perds sous des baisers, souillée

A la recherche de sensations inutiles.

 

Dans des bras inconnus

Je me perds sous des assauts brutaux

Sursaut de conscience, balyé par le plaisir

A la recherche d'une émotion futile.

 

Dans les sens éveillés

D'un volcan trop longtemps abandonné

Je me perds sous des reins avides

A la recherche d'une explosion inutile.

 

Aux sentiments sacrifiés, j'érige un panthéon

A mon âme a jamais perdue

Je me perds dans la danse des sens

A la recherche du futile.

 

A la recherche d'une passion aimante

Je me perds dans ma chair brulante.

A la recherche d'une affection méconnue

Je me perds dans des bras insonnus.



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12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 06:00

Chaque moment, chaque journée, chanque émotion trouve quelque part son air..

 

Il existe toujours une chanson qui, quand on l'entends, nous fais chialer comme une madeleine, danser comme une enragée, où tout simplement ressentir les choses...

 

Comme si quelqu'un, quelque part avait un jour su dire mieux que nous, ce que l'on pense a ce moment précis, sans trouver les mots qui vont dessus...

 

Bref, on a tous notre chanson du jour....

 

Je déballe pas mes maux, je couine pas sur mon sort, .....je partage juste ma chanson du jour !

Et ça, c'est pour les curieux qui ne comprennent pas l'anglais....
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Présentation

  • : Le blog de Henriette Mauvaise-Foi
  • : mauvaise foi, railleries et raleries..... Voisine acariatre, ou philosophe de comptoir, Henriette Mauvaise-Foi a toujours quelque chose a dire, sur tout... Mais henriette est erotique a souhait, lorsqu'on sait prendre son temps !
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